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NOUVELLE MISE A JOUR LE 15 avril 2014

samedi 24 avril 2010

2e Régiment de Dragons (2)

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II. – CHAMPAGNE (du 10 Septembre au 2 Octobre 1914)

10 Septembre 1914 – Un C.C. formé de la 6ème et de la 9ème D.C. sous le commandement du Général De l’ESPÉE, reçoit la mission de poursuivre l’ennemi en retraite. (Bataille de La MARNE)
Le 10 Septembre, le Régiment cantonne à NOGENT-sur-AUBE.
11 Septembre – Au moment où il va atteindre MAIRY-sur-MARNE, l’ennemi fait sauter le pont.
Cantonnement à SAINT-QUENTIN-sur-COOLE et MAIRY.
12 Septembre – Continuation de la poursuite ; La Division se porte sur MARSON, COUPEVILLE, MOIVRES, HERPONT.
En traversant les bois qui sont au Sud de l’ÉPINE, le 1er Demi-régiment (avant-garde) fait deux prisonniers appartenant au 12ème Corps saxon.
Le 3ème Escadron signale 2 Régiments d’Infanterie ennemie et 2 Batteries se repliant au Nord de POIX.
En arrivant devant HERPONT, l’avant-garde trouve le village fortement occupé.
La Division accueillie par une violente canonnade est obligée de se replier vers le Sud.
Le Régiment cantonne le soir à DOMMARTIN-sur-YÈVRE.
13 au 16 Septembre – La Division explore la région de SUIPPES, sans pouvoir progresser.
17 Septembre au 1er Octobre – Elle est mise au repos à la disposition du Général Commandant la IVème Armée.
Le Régiment cantonne à MONCETZ (5 km. Sud-est de CHALONS) puis à SAINT-GERMAIN-la- VILLE.
2 Octobre – La Division se dirige sur FÈRE-CHAMPENOISE où elle embarque le 3 Octobre.


Source Historique du 2e Régiment de Dragons – Imprimerie Berger - Levrault
Avec l’aimable autorisation de Jean-Luc Dron
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vendredi 23 avril 2010

2e Régiment de Dragons (1)

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I.- LORRAINE (du 2 Août au 9 Septembre 1914)

31 Juillet – Télégramme de couverture.
1er Août – Le Régiment s’embarque à LYON, de 6 heures (1er train) à 12 heures (4ème train). La Division, rassemblée à 2 kilomètres Nord de HADIGNY-les-VERRIÈRES, est envoyée immédiatement occuper les ponts de La MEURTHE. Le Régiment est chargé de tenir ceux d’AZERAILLES, de FLIN, de CHÈNEVIÈRES.
4 Août au 8 Août – La Division se tient en surveillance à l’Est de la forêt de MONDON vers NOTRE-DAME-de-LORETTE. Le Régiment cantonne à HERBEVILLER et OGEVILLER.
5 Août – Une reconnaissance d’Officier (Lieutenant VIDART), envoyée sur RÉCHICOURT, entre en contact avec l’ennemi à hauteur d’AVRICOURT. Le Lieutenant VIDART et le Dragon PAYEN sont blessés et fait prisonniers.
9 Août – La Brigade, en dispositif d’attaque, entre REILLON et CHAZELLE, essuie le feu assez violent d’une Batterie ennemie.
10 au 13 Août – La Division, tout en continuant à patrouiller à l’Est de la forêt de MONDON se replie le soir sur La MEURTHE. Le Régiment cantonne à SAINT-CLÉMENT.
14 Août – La Division retourne dans la région de BLÉMERY.
15 Août – Constitution d’un Corps de Cavalerie (6ème, 7ème et 10ème D.C.) sous le commandement du Général CONNEAU.
16 Août – Cantonnement de repos à OGEVILLER.
17 Août – Le C.C. marche sur SARREBOURG. Le Régiment franchit la frontière entre IGNEY et FOULCREY et cantonne à SAINT-GEORGES.
18 Août – La Division débouche à 8 heures sur le plateau au Sud de SARREBOURG ; elle est accueillie par une forte canonnade et se replie vers le POIRIER de XOUAXANGE. Le Régiment cantonne à LANDANGE.
19 Août – Bataille de SARREBOURG. La Division se tient dans les environs de KERPRICH-aux-BOIS.
20 Août – La Division suit le mouvement de repli du 8ème Corps et cantonne à FOULCREY. Elle cesse de faire partie du C.C.
21 Août – Engagement du 1er Demi-régiment avec un Escadron et une Compagnie Cycliste marchant de MOUSSEY sur RÉCHICOURT. Le Régiment cantonne à OGEVILLER.
22 au 25 Août – Continuation du mouvement de repli par SAINT-CLÉMENT, SERANVILLE, LOROMONTZEY.
25 Août – Combat de ROZELIEURES : Régiment participe à pied au combat engagé par le 16ème Corps, contre l’Infanterie allemande qui cherche à percer dans la direction de CHARMES. Le 4ème Escadron et la D.M. occupent la corne Nord-ouest du bois de LALAU.
Le 1er Demi-régiment (avec les Cyclistes de la Division) tient la lisière Nord-est de ce bois, en liaison avec le 2ème Bataillon de Chasseurs.
Les fractions des 17ème et 22ème Régiments d’Infanterie bavaroise, parvenues jusqu’à la lisière du bois sont repoussées à la baïonnette par les Cyclistes.
Dans la soirée, le Régiment « qui a réussi à empêcher l’ennemi de déboucher du village de ROZELIEURES » (Ordre du Général Commandant la VIème Armée, N° 593), est relevé par des éléments du 210
ème Régiment d’Infanterie et va cantonner à BAINVILLE-aux-MIROIRS.
26 Août au 6 Septembre – Le Régiment prend part à plusieurs actions entre REMENOVILLE et SERANVILLE.
Il cantonne à SAINT-BOINGT.
26 Août – Deux Pelotons du 3ème Escadron et tout le 4ème, suivis par les 1er et 2ème Escadrons chargent en fourrageurs à l’Est de REMENOVILLE et forcent l’ennemi à évacuer le bois du HAUT-du-MONT.
7 Septembre – La Brigade est mise à la disposition du Général Commandant le Groupe des VOSGES.
Le Régiment cantonne à CHEMIMENIL.
8 Septembre – La Brigade repasse sous les ordres du Général commandant la 6ème Division de Cavalerie.
9 Septembre – Le Régiment s’embarque en chemin de fer à DARNIEULLES. Il débarque à BRIENNE-le-CHATEAU à 20 heures.


Source Historique du 2e Régiment de Dragons – Imprimerie Berger - Levrault
Avec l’aimable autorisation de Jean-Luc Dron
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« Un besoin de mémoire »

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CERTAINS sont venus de loin pour assister à la cérémonie. Ainsi des membres de l'association des Poilus arrivaient de Lugrin en Haute-Savoie. L'inauguration, dimanche, de la stèle commémorant l'ancien Hôpital d'Orientation et d'Evacuation à Prouilly valait bien le voyage.

La suite sur l’union
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Un obus retrouvé dans la benne de la déchetterie

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Les métaux déposés à la déchetterie sont destinés à être fondus. En y plaçant un explosif, imaginez le résultat ! Un individu peu averti a tout de même fait la « bourde » de déposer un obus mardi après-midi à la déchetterie de Château-Thierry.

La suite sur l’union
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jeudi 22 avril 2010

Le village possédait une chenille de tank anglais, il a maintenant un monument à la mémoire des soldats

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La « reconnaissance de la bravoure et du courage des soldats britanniques », le Souvenir français et la commune s'en chargeaient chaque année, outre les hommages rendus aux Australiens. Cette année, la cérémonie a eu une saveur particulière, puisqu'elle comprenait l'inauguration d'une stèle…

La suite sur La voie du Nord
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Anzac Day : la cérémonie maintenue malgré des Kiwis absents

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En revanche, le nuage islandais et les perturbations aériennes auront des conséquences sur la venue de Néo-Zélandais dimanche dans le cadre de l'Anzac Day.

La suite sur La voie du Nord
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mercredi 21 avril 2010

Histoire et botanique

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La commission culturelle de la commune d'Illfurth propose une découverte originale du sentier du Haulenwald qui alliera histoire et botanique, devant la Burnkirch d'Illfurth.

La suite sur les DNA
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Le Fort de Seclin

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Il est l’œuvre d’une famille lilloise, les Boniface, passionnée par l’histoire de la Première guerre mondiale. Elle s’était constituée une importante collection de matériel militaire.

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Une centaine de munitions découvertes dans un abri souterrain

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Les démineurs ont en effet décelé une centainede munitions dans un abri souterrain. Finies les évacuations, mais les mesures de sécurité sont maintenues.

La suite sur La voie du Nord
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mardi 20 avril 2010

95e anniversaire de la bataille des Dardanelles

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Il y a des événements que l'on ne peut pas rater.
Pourtant, ce rendez-vous semble bien compromis.
Six membres de l'association des Poilus de la Marne devaient partir aujourd'hui, lundi, en avion, afin d'assister aux commémorations de la bataille des Dardanelles, qui doivent se dérouler le 24 avril.

La suite sur l’union
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Droit de réponse Réaction autour du Mémorial des batailles de la Marne

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Votre journal a publié lundi 29 mars un article concernant l'association du Mémorial des batailles de la Marne, Dormans 1914-1918. Cet article occulte le sujet principal et les informations qu'il contient font passer notre association pour un groupe visant uniquement à discréditer et à perturber. Ces imputations sont susceptibles de porter atteinte à l'honneur ou à la réputation de cette association.

La suite sur l’union

Il en était question
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L'Association "Pour ceux de 14" se mobilise pour la mémoire des oubliés

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C'est une vaste entreprise que celle de l'Association "Pour ceux de 1914" et pourtant nécessaire pour refuser l'oubli. Redonner de l'Humanité aux monuments aux morts, redonner un sens à celles et ceux qui sont partis pour que les générations suivantes vivent dans la paix.
A Chalon, ou à Montceau... et dans toute la Saône et Loire...
les petites mains de l'Association se mettent en quatre pour être opérationnelles en vue du centenaire de la Grande Guerre.

La suite
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Trois obus découverts par hasard à Bassecourt

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Trois obus de la guerre 14-18 ont été découverts ce lundi matin à Bassecourt lors de la réfection du toit du restaurant du Jura.

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Galan. Les humbles de la Grande Guerre

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Jean-François Caux, militaire retraité très impliqué dans la vie des associations patriotiques locales, s'est penché sur tous les noms gravés sur l'ensemble des monuments aux morts du canton de Galan.

La suite sur la Dépêche
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lundi 19 avril 2010

7e Bataillon Territorial de Chasseurs Alpins

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« Les peuples heureux n'ont pas d'histoire », dit un adage bien connu ; l'on peut dire aussi que les bataillons heureux n'ont pas d'historique.
Le 7e bataillon territorial de chasseurs alpins a été un bataillon heureux, ce qu'il a fait pendant la campagne peut se résumer en une phrase : il a défendu la terre d'Alsace.
Belle et glorieuse mission s'il en fut une !
Après s'être attardé trois mois sur la frontière italienne, à Menton, - les Italiens réfléchissaient encore, et les Alpes étaient le domaine des alpins, le 7e fut brusquement transplanté, en novembre 1914, du pays des orangers en Alsace, aux neiges de Boussat, de Markstein, du Grand Ballon. Ce fut dur, tout le bataillon faillit en geler, mais cela trempa les courages et galvanisa la décision qui l'avait envoyé là. Il resta toujours dans cet admirable pays.
Il est la seule unité qui n'ait plus repassé les Vosges ; c'est pourquoi le nom lui est resté de « bataillon d’Alsace ».
« N'oubliez pas qu'il y a des gens qui paieraient pour être au Langenfeldkopf », disait le général SERRET, mais les tranchées n'existaient pas à ce moment-là.
Le 7e prit une part active à l'organisation de la défense de tous ces points bien connus des divisions venues en Alsace : Schnepfenrieth, Rodelen, Grand Ballon, Hohler-Wald, Bois en Brosse, Langenfeldkopf, Sagmatten, Gustiberg.
Toujours en première ligne, il arrête les reconnaissances de skieurs bavarois ; reçoit le choc, le 13 février, de l'attaque de Remspach ; suit en soutien, le 17 avril, la prise du Schnepfenrieth, qui nous permet d'avancer nos lignes qu'il organise ; appuie, le 15 juin, l'enlèvement de l'Hilsenfirst ; repousse, le 1er juillet, les attaques répétées et furieuses des Boches sur l'Hohler-Wald ; progresse, le 10 juillet, après la prise de Sondernach ; tout cela sans un jour de repos.
Enfin, il quitte les hauteurs, occupe la vallée de la Lauch, arrête, le 13 octobre, une attaque sur la scierie de Sangern et, de là, part pour les pentes de l'Hartmann, où il reste en mai 1916. Rochette, Moyeret, Les Dames, le saillant de Wattwiller, Steinbach, la cote 423, Vieux-Thann n'ont plus de secret pour lui : il tient, il tient toujours, supportant des bombardements violents, arrêtant des coups de main montés en force, avec des 105, 150, 210 et de gros minenwerfers de 240.
Il connaît enfin les délices de la vallée et Thann le gâte comme son bataillon.
Mais brusquement les neiges le réclament et c'est de nouveau au Grand Ballon, à Bresson, en première ligne toujours, qu'il finit l'année 1917.
C'est sous les ordres, d'abord du chef de bataillon DE GUILLEBON, que le 7e commence la campagne, puis, le 16 avril 1916, il passe sous ceux du chef de bataillon CHICOTOT et, le 21 avril 1917, son commandement est pris par le chef de bataillon VEILLON.
C'est ainsi que, comme son nom de « bataillon d'Alsace », sa devise fut vite trouvée : « Nous veillons », disent les poilus du 7e aux Alsaciens.
Le bataillon fut ensuite successivement commandé par les chefs de bataillon BEGHIN, ADENOT et CHAMOUX.
Le fanion du 7e bataillon ne porte pas de croix de guerre, ses officiers, ses chasseurs ont obtenu peu de galons, peu de croix. Il est, comme toutes les unités territoriales qui sont toujours restées en première ligne, composé de héros simples et obscurs, accomplissant ce dur métier, sans gloire, de garder le terrain, mais avec le sentiment d'avoir fait leur devoir complet pour la patrie.

Saluons nos chasseurs territoriaux !...

Source Historique du 7e Bataillon Territorial de Chasseurs Alpins
Avec l’aimable autorisation de Jean-Luc Dron
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Le futur Musée de la Grande Guerre de Meaux, écrin d'une collection unique

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Le Musée de la Grande Guerre de Meaux ouvrira symboliquement ses portes le 11 novembre 2011 sur les lieux mêmes de la bataille de la Marne de septembre 1914 et abritera une collection unique au monde réunie pendant plus de 40 ans par un passionné.

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dimanche 18 avril 2010

Les meilleures

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Je crée cette nouvelle rubrique qui n’a rien à voir avec ma/notre passion

A force de lire des inepties dans les alertes tous les matins, j’ai décidé de vous en faire profiter.

La première,

le journaliste est-il un abonné du Canard Enchaîné ?

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La peinture contemporaine et la Grande Guerre

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Un envoi de Jan Theuninck, artist for peace, justice and civil liberties

Voici deux peintures (+poèmes) Ypérite et Hill 60. Je suis né et a vécu à Zonnebeke, près d'Ypres, ainsi la Grande Guerre a toujours été une source d'inspiration artistique....


Hill 60


sang de coquelicots
sur l'herbe verte
sur les collines de boue
ils vont mourir...

© by Jan Theuninck



Ypérite


tard le soir
un brouillard
commence à remplir
la vallée
Sans le savoir
il nous étouffe
et nous étrangle
comme un pouvoir
occulte
Sur les champs
restent nos cadavres
et sous le vert
de nos plaines
une terre brune

© by Jan Theuninck
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La commune offre un lifting au mémorial portugais

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Ce matin, les invités de la cérémonie franco-portugaise découvriront des bronzes qui brillent d'un éclat qu'ils avaient perdu depuis longtemps. La commune vient d'offrir un lifting au mémorial.

La suite sur La voie du Nord
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Chemin des Dames Au rendez-vous

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Tardi répond à l’union

l'union : « Quelle est l'histoire de ce spectacle « des lendemains qui saignent » ?

Jacques Tardi : « Il s'agit de chansons interprétées par Dominique Grange sur la guerre 14-18, comme « La chanson de Craonne » « La Butte rouge »… et de textes originaux écrits par elle. Entre les chansons, je lis des extraits de mon ouvrage « Putain de Guerre »

La suite sur l’union
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